Dans le cadre d’une séance de coaching, j’interroge Ariane, 35 ans, sur ce qu’elle aimait chez elle.
 Mon intelligence, mon sens du devoir, ma rigueur, ma capacité de travail », m’a-t-elle répondu. Silence. Elle ne savait plus quoi ajouter. Je lui demandai alors :
 Voulez-vous savoir ce que moi, j’aime chez vous ?
 Bien sûr ! dit-elle.
 Votre douceur, votre sensibilité, vos émotions, votre vulnérabilité qui me touchent… Ma cliente s’effondra alors en sanglots en disant :
 Je croyais que c’étaient des défauts ! ». Comment mieux dire que dans notre société les valeurs du masculin sont survalorisées et les valeurs du féminin, dévalorisées ?

Valérie